Nous nous sommes allongés, sur le bois frais. Nos têtes mêlées, les uns sur les autres. On regardait les étoiles. Belles. Souriantes. Et je sentais sa proximité, je la sentais mais n'était-ce qu'un tas de corps et rien d'autre ?
J'ai senti sa main, dans les tumultes de tous nos rires réunis, caresser ma joue, mes cheveux. Je fermais les yeux, et alors je ne savais plus me concenter sur quoi que ce soit sinon la chaleur de ses doigts, doux, délicieux. Il m'a parlé des étoiles, et même s'il y avait du cliché dans cette histoire, c'était un fil entre nous. Invisible, et personne n'a sans doute entendu notre discussion, mais je savais qu'il me parlait, et qu'il avait sa main sur ma joue.
C'était un de ces soirs où, apeurée, je n'ai rien su faire, ni saisir. C'est une de ces mélodies qui va s'effacer, intrusive mais oubliable. Je ne sais plus déceler vos tendresses. Et je suis effrayée à l'idée de vous les rendre.
Avrilez mois.
J'ai senti sa main, dans les tumultes de tous nos rires réunis, caresser ma joue, mes cheveux. Je fermais les yeux, et alors je ne savais plus me concenter sur quoi que ce soit sinon la chaleur de ses doigts, doux, délicieux. Il m'a parlé des étoiles, et même s'il y avait du cliché dans cette histoire, c'était un fil entre nous. Invisible, et personne n'a sans doute entendu notre discussion, mais je savais qu'il me parlait, et qu'il avait sa main sur ma joue.
C'était un de ces soirs où, apeurée, je n'ai rien su faire, ni saisir. C'est une de ces mélodies qui va s'effacer, intrusive mais oubliable. Je ne sais plus déceler vos tendresses. Et je suis effrayée à l'idée de vous les rendre.
Avrilez mois.
Puis, le joli Mai.