L'acide. Le rien. Le vent contre mes volets. Sur un air d'évasion.
ou-allez-vous-d0rmir-ce-soir
Elle se replie sur elle-même, comme des poupées de chiffons & des petites notes .
Vendredi 26 février 2010 à 11:59
L'acide. Le rien. Le vent contre mes volets. Sur un air d'évasion.
Echappé tout droit de ou-allez-vous-d0rmir-ce-soir
Jeudi 25 février 2010 à 22:34
L'arrache-coeur.
Parce qu'il existe toujours. Celui qui vous fait du mal. Il a succédé à un autre, qui vous en avait fait tout autant. Et qui avait lui aussi été charmant aux prémisses de ce qui semblait décoller.
J'en ris, mais j'avais pensé que je serai la prétentieuse qui se vanterait de vivre ...
Echappé tout droit de ou-allez-vous-d0rmir-ce-soir
Mercredi 24 février 2010 à 19:20
Et il avait Please please me, des Beatles
Echappé tout droit de ou-allez-vous-d0rmir-ce-soir
Samedi 20 février 2010 à 7:50
Tu ne m’as pas dit au revoir Et il me parlait, mais moi je ne pensais qu’à toi. J’étais en colère. En colère. Et il ne comprenait pas, il me parlait tout en sachant que j’étais absente. Mais ça fait quelque temps, déjà, qu’il en a conscience et se rassure en se persuadant qu’il ne sait juste pas toucher le fond de ma Pensée folle.
Je l’ai laissé, et je t’ai envoyé un message, parce que je savais que tu ne le ferais pas, et quinze jours c’est long. Quinze jours. C’est un manque, un vrai manque, je veux toujours te voir, et ça fait mal, là. C’est terrible, non tu sais c’est terrible de ne pas sentir une réciprocité.
Et je t’ai vu monter dans le tram, plein d’œuf, avec ce blouson affreux et ce pauvre jean mal coupé qui te tombait pourtant bien. Mon cœur qui bat trop fort. Qui bat trop fort. Qui bat trop fort […]. L’intensité de ton regard. Et le mien qui ne sait pas se détacher de tout ton être pendant que tu te diriges vers moi. Mon cœur fait encore un bond, mais mes yeux sont toujours perdus en toi, c’est pour cela que tu arrives, et me dis :
«Qu’est-ce qu’il y a ? Tu me regardes comme ça parce que je suis tout sale, hein.
J’ai un pauvre sourire :
« … Oui tu . Tu es plein d’oeufs qu’est-ce que tu as bien pu faire …?
Rire forcé. C’est dur. Forcé, c’est forcé, faux. Je me colle contre la vitre. Tu me parles et je regarde tes cils. Fins. Longs. Mais il n’y a rien à faire. Il n’y aura plus rien à faire, parce qu’on n’efface pas un passé, il n’existe pas non plus de touche « on recommence, mais en mieux ».
Pourtant recommençons. Mais en mieux. S’il te plait, laisse-moi essayer de te toucher.
cinquième étage, et vous disent : « je vous offre ces roses ».
Echappé tout droit de ou-allez-vous-d0rmir-ce-soir