Il y a cette douce odeur de l'été, ces matinées avec une simple nuisette blanche et les cheveux en pagaille. Le sucre de nos soirées, & cette histoire d'amour posée à mon chevet. Regarde mon sourire, non regarde nos sourires. Mes éclats de joie et cette vague qui me mouillait entière pour les prochaines heures. Avec un petit cris et mes yeux plongés dans ta pétillance. Le sable frais, un trop plein de bonheur. J'en ai du mal à l'écrire. Parce que je ne pourrais plus revenir en arrière ? Je ne veux plus me bousiller. Alors oui, je crois que je faillis flancher, à certains moments. Mais je ne vais plus me retourner. Tu n'avais rien à voir avec mes premières fois, parce que je l'ai décidé. Je suis de nouveau naïve et propice aux étincelles de la vie. Sans toi. Voilà c'est dit, finalement.
De cette chaleur particulière qui ne vient pas des radiateurs.