J'ai l'impression de ne pas le comprendre.
Je cherche dans ses yeux une réponse, je fouille.
Il l'a dit pourtant . Non, que fait-il ?A quoi joue-t-il ?
Je ne sais pas vraiment où je vais.
Mais je vois cet immense mur au bout de mon chemin...
Je ne ralentis pas .
J'arrivais en retard, j'étais hors d'haleine, décoiffée et frigorifiée, quand je l'ai vu.
J'ai levé la tête, et mes yeux ont rencontré les siens. Je me suis détournée.
Parce que son regard perçant, ourlé de ses longs cils noirs, m'a fait fléchir.
Je ne suis plus forte du tout lorsque je suis en face de lui. Nous étions seuls.
Je lui ai souri, et il m'a dérouté, comme chaque fois. Comme tout le temps.
Comme à cette soirée, où nous étions si proches l'un de l'autres, où nos corps se
frôlaient, créant une décharge à chacun de leurs contacts, attirés l'un vers l'autre comme
deux aimants magnétiques. Ce prélude de nuit où je ne le quittais pas des yeux, et où
il me déshabillait d'un simple regard ... Comme encore cet instant dans l'obscurité où
le silence semblait signifier bien plus que n'importe quel mot ... Ces images, ces éternités
minimes, défilent dans ma tête. Et puis ce message il y a deux soirs, tellement plus
confus que les autres. Des questions, et une envie de lui crier au visage d'arrêter,
opposé modestement à ce désir qu'il ne cesse pas, car je ne le veux pas, au fond.
Je cherche dans ses yeux une réponse, je fouille.
Il l'a dit pourtant . Non, que fait-il ?A quoi joue-t-il ?
Je ne sais pas vraiment où je vais.
Mais je vois cet immense mur au bout de mon chemin...
Je ne ralentis pas .
J'arrivais en retard, j'étais hors d'haleine, décoiffée et frigorifiée, quand je l'ai vu.
J'ai levé la tête, et mes yeux ont rencontré les siens. Je me suis détournée.
Parce que son regard perçant, ourlé de ses longs cils noirs, m'a fait fléchir.
Je ne suis plus forte du tout lorsque je suis en face de lui. Nous étions seuls.
Je lui ai souri, et il m'a dérouté, comme chaque fois. Comme tout le temps.
Comme à cette soirée, où nous étions si proches l'un de l'autres, où nos corps se
frôlaient, créant une décharge à chacun de leurs contacts, attirés l'un vers l'autre comme
deux aimants magnétiques. Ce prélude de nuit où je ne le quittais pas des yeux, et où
il me déshabillait d'un simple regard ... Comme encore cet instant dans l'obscurité où
le silence semblait signifier bien plus que n'importe quel mot ... Ces images, ces éternités
minimes, défilent dans ma tête. Et puis ce message il y a deux soirs, tellement plus
confus que les autres. Des questions, et une envie de lui crier au visage d'arrêter,
opposé modestement à ce désir qu'il ne cesse pas, car je ne le veux pas, au fond.
Alors, dans cet entre silencieux, mon regard le fuit puis le cherche.
Et dans ce couloir, avec lui, je serai restée une éternité.
Il se trouve, messieurs dames, qu'il est omniprésent dans ma vie.
Et dans ce couloir, avec lui, je serai restée une éternité.
Il se trouve, messieurs dames, qu'il est omniprésent dans ma vie.
Bonne soirée, je t'envoie plein de bisous =)