La dépravées, au pluriel, et je m'envole dans mes désirs d'être. Rire au bord de tes lèvres, me rouler dans ta vie, la trainer, la crier dans nos tympans. Des grains de sable, l'ivresse de mes dévôts, je t'inspire, t'expire, te pense. Je serais ton amoureuse, au grand noir.
Je suis excessive, j'aime quand ça désaxe, quand tout accélère. C'est que la vie n'a pas d'extase sans extrème. Pour autant, ça se faufile à travers les berceuses macabres. Pour autant, je te laisserais bien prendre le contrôle, et saisir mes instants innavoués. Pour autant, je ne suis rien d'autre qu'une pêcheresse innocente.
Je suis excessive, j'aime quand ça désaxe, quand tout accélère. C'est que la vie n'a pas d'extase sans extrème. Pour autant, ça se faufile à travers les berceuses macabres. Pour autant, je te laisserais bien prendre le contrôle, et saisir mes instants innavoués. Pour autant, je ne suis rien d'autre qu'une pêcheresse innocente.
Paradoxalement et outrageusement vôtre.
J'espère que tu vas bien :). Que tes amours se lassent. La vie est extrême, j'espère que tu la mords bien au coeur !
Des bisous !
(Si tu veux, tu peux me retirer de tes co-auteurs du blog !)